Résumé : Les tentatives en Angleterre au xviiie siècle pour confiner la musique religieuse dans la catégorie du sublime ont eu deux effets différents et consécutifs : d’abord, la définition paradoxale d’un sublime de l’intériorité, puis l’emprisonnement caricatural de la musique sacrée dans une quête de l’emphase et de l’excès qui annonce un changement d’esthétique et l’avènement du romantisme.