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Classiques Garnier

Remerciements

  • Prix La Renaissance française de l'Académie des sciences d'outre-mer (2016)
  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : À l’ombre de la langue légitime. L’Acadie dans la francophonie
  • Pages : 11 à 12
  • Collection : Linguistique variationnelle, n° 2
  • Thème CLIL : 3147 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Linguistique, Sciences du langage
  • EAN : 9782812459771
  • ISBN : 978-2-8124-5977-1
  • ISSN : 2492-010X
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-5977-1.p.0011
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 26/03/2016
  • Langue : Français
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Remerciements

Lidée de ce livre est née en janvier 2013, alors que je profitais dun congé sabbatique de lUniversité de Moncton. Mon amie Claudine Moïse ma conseillé de lire Retour à Reims de Didier Éribon, essai qui saurait mintéresser par les affinités quil présentait avec mes propres interrogations. Le livre ma fortement inspirée, tant par sa forme que son contenu. Le ton adopté par lauteur, à mi-chemin entre lauto-analyse et le texte scientifique, était celui que je cherchais. Écrire au « je » mest apparu à la fois comme une nécessité et une libération.

Un an plus tard, Françoise Gadet et André Thibault, directeurs de la collection sociolinguistique variationnelle, mont invitée à publier cet essai dans leur collection et mont gratifiée de leur lecture minutieuse, de leurs conseils avisés et de leur rigueur exemplaire. Je remercie tout particulièrement Françoise Gadet, rencontrée en 1993, lors de son séjour à lUniversité de Moncton où elle avait été invitée à donner des conférences. Elle est devenue ma directrice de thèse, et elle na cessé, depuis lors, de minspirer et de mencourager à suivre la voie qui est la mienne. De la confiance quelle ma accordée, je lui suis infiniment reconnaissante.

Je remercie Michel Francard davoir bien voulu signer la préface, dautant que ses travaux sur les représentations et linsécurité linguistiques sont venus légitimer mes propres intérêts sur ses questions et mont fourni un cadre où inscrire mes recherches.

Un merci tout particulier à Marilou Potvin-Lajoie qui a lu, corrigé et mis en page les différentes versions du manuscrit. Merci à Julie Bérubé pour sa relecture attentive. Dautres personnes ont lu des parties ou ébauches du texte et mont fait des commentaires éclairés : Raoul Boudreau, Alexandre Duchêne, Mélanie LeBlanc, Isabelle LeBlanc, Claudine Moïse ; quils en soient chaleureusement remerciés.

Jai eu la chance de travailler avec des équipes de recherche exceptionnelles depuis la fin des années 1990 où jai fait la rencontre de personnes devenues des amis avec qui jai discuté et réfléchi depuis et qui mont

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enrichie de leur savoir. Je pense plus particulièrement à Monica Heller qui ma permis de développer une sociolinguistique qui soit critique, à Lise Dubois et Marie-Ève Perrot qui ont été mes compagnes de travail pendant de nombreuses années, à Mourad Ali-Khodja, Alexandre Duchêne, Claudine Moïse, Patricia Lamarre, France Martineau qui ont partagé avec moi leur soif de connaissances et leur passion du savoir. Je pense aussi aux étudiants qui, à titre dassistants de recherche, ont participé aux projets dont il est question dans lessai, et qui à leur tour sont devenus des collègues et amis : Isabelle Bujold, Mireille McLaughlin, Mélanie LeBlanc, Matthieu LeBlanc, Chantal White. Je noublie pas non plus les conversations stimulantes avec Didier de Robillard, Sénamin Amédégnato, Jean-Marie Klinkenberg et Chantal Bouchard qui ont contribué à élargir ma vision des phénomènes linguistiques.

Je remercie les collègues du département : Louise Péronnet et Catherine Phlipponneau qui, dès le début, mont incitée à poursuivre des recherches en sociolinguistique ; je remercie aussi Laurence Arrighi, Karine Gauvin, Isabelle Violette pour les discussions nombreuses et éclairantes. Je ne saurais non plus passer sous silence lapport du Centre de recherche en linguistique appliquée de lUniversité de Moncton, lieu de rencontre entre étudiants, chercheurs de lUniversité et chercheurs dailleurs, lieu marqué par sa secrétaire administrative, Lise Landry, qui a su créer un environnement chaleureux et accueillant.

Je suis heureuse dexercer ce métier qui est le mien et qui me met en contact permanent avec des étudiants stimulants, trop nombreux pour nommer ici et qui mont abondamment nourris par leurs réflexions, questions, lectures.

Jai une dette de reconnaissance envers le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada pour les généreuses subventions de recherche accordées au cours des ans. La reconnaissance sélargit à la Faculté des études supérieures et de la recherche de lUniversité de Moncton pour son soutien continu.

Merci à Raoul de son soutien inconditionnel.

Merci à ces voix connues et inconnues que jai entendues et qui mont touchée.