Nous précisons d’emblée que par défaut, comme base textuelle française, les passages de l’Éthique cités sont tirés de la traduction de Charles Appuhn1, mais qu’ils sont très fréquemment remaniés à partir des Opera2 en latin dans le sens de la traduction de Bernard Pautrat3. Toute modification de la traduction par défaut sera précisée et justifiée.
Pour les traductions des autres œuvres de Spinoza, elles seront précisées au cas par cas, en note.
Pour toutes les traductions du grec ancien, dans la mesure du possible, nous avons fait vérifier la traduction du texte original dans le latin ou le français pour Porphyre, et dans le français pour Aristote, n’étant pas formé à cette langue.
Pour toutes les traductions d’autres œuvres, latines ou anglaises, elles seront précisées au cas par cas, en note.
1Œuvres de Spinoza, traduites et annotées. Nouvelle édition revue et corrigée d’après l’édition de Heidelberg, par Charles Appuhn, 3 volumes, Paris, Garnier, 1953. Nous pensons que cette traduction est suffisamment complète pour établir une base de travail. Pour un aspect de cette complétude de traduction, on lira l’article de P.-F. Moreau : « Traduire Spinoza : l’exemple d’Émile Saisset », Spinoza auxixe siècle : Actes des journées d’études organisées à la Sorbonne (9 et 16 mars, 23 et 30 novembre 1997), A. Tosel, P.-F. Moreau, J. Salem dir., Paris, éditions de la Sorbonne, 2008.
2 Édition Carl Gebhardt, 4 volumes, Heidelberg, Carl Winters Universitätsbuchhandlung, 1924.