Alors que Jean Papon semble, à la fin de sa vie, favorable à l’établissement d’une monarchie tempérée, la pensée humaniste se déchire lorsque les querelles théologico-politiques dégénèrent en guerres civiles. Combattant les thèses, d’essence libérale, des partisans de la Réforme, de nombreux juristes, hostiles à celle-ci, posent les bases idéologiques du régime monarchique français des deux siècles suivants.
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