Table des incipit
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Délie. Objet de plus haute vertu
- Pages : 423 à 435
- Réimpression de l’édition de : 2012
- Collection : Classiques Jaunes, n° 613
- Série : Littératures francophones
TABLE DES INCIPIT
A
A contempler si merveilleux sp)ectacle A Cupide je fis maintz traictz briser Affection en un si hault désir Ainsi absent la memoyre posée Ainsi qu'Amour en la face au plus beau Ainsi que l'air de nues se devest A l'embrunir des heures tenebreuses Amour ardent, et Cupido bandé Amour des siens trop durement piteux Amour lustrant tes sourcilz Hebenins Amour me presse, et me force de suyvre Amour perdit les traitctz, qu'il me tira Amour plouroit, voire si tendrement Amour si fort son arc roide enfonsa Apparoissant l'Aulbe de mon beau jour Appercevant cest Ange en forme humaine A quoy prétendre yssir librement hors A si hault bien de tant saincte amytié A son Amour la belle aux yeux aiguz A son aspect mon œil reveremment Asses ne t'est d'avoir mon cœur playé Asses plus long, qu'un Siecle Platonique Au Caucasus de mon souffrir lyé Au centre heureux, au cœur impenetrable Au commun plainct ma joye est convertie Au doulx record de son nom je me sens Au doulx rouer de ses chates regardz Aumoins peulx tu en toy imaginer Au moins toy, clere, et heureuse fontaine
XCVII, P- 49 CXL, P- 68 CCCXXXVIII, P- 156 CDXXXIV, P- 199 CDXLV, P- 204 CCCXXXIX, P- 157 CXXVl, P- 62 CCXVII, P- 103 LXVII, P- 36 CCLXX, P- 126 CLXXIX, P- 86 LXXXIX, P- 46 CCCII, P- 140 CXLV, P- 71 CCCIV, P- 141 CDIX, P- 188 CCXCIV, P- 137 CCCXLVI, P- 160 CCLXVIII, P- 125 CCCLXXIII, P- 172 CCCXI, P- 144 CCCLXVII, P- 169 LXXVII, P- 40 CCCXXX, P- 153 CCLI, P- 118 CCLXVII, P- 125 CDXI, P- 189 CLI, P- 73 CCXXXV, P- 111
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MAURICE SCÈVE
Au recevoir l'aigu de tes esclairs LXXX, P- 42 Authorité de sa grave presence CCXIX, P- 103 Au vif flambeau de ses yeux larmoyantz CCCXLIII, P- 159 Avoir le jour nostre Occident passé CCCXL, P- 157 Ay je peu veoir le vermeil de la honte XXVIII, P- 19
B
Basse Planete à l'ennuy de ton frere CCLXXXII, P- 131 Bien eut voulu Apelles estre en vie CCLXXVII, P- 129 Bien fortuné celuy se povoit dire CXXXIX, P- 68 Bien fut la main à son peril experte XXXVIII, P- 23 Bienheureux champs, et umbrageux Costaulx CCXXXVI, P- 111 Bien paindre sceut, qui feit Amour aveugle XXXVII, P- 23 Bien que je sache amour et jalousie CDXXV, P- 195 Bien qu'en ce corps mes foibles esperitz CCCLXXIX, P- 175 Bien qu'on me voye oultre mode esjouir CII, P- 51 Bien que raison soit nourrice de l'ame CDXXXIX, P- 201 Blanc Alebastre en son droit rond poly CLXXII, P- 83 Blasme ne peult, où n'est aulcun deffault CCCLXXI, P- 171 C Ce bas Soleil, qui au plus hault fait honte CXXVIII, P- 63 Ce cler luisant sur la couleur de paille CCCLXXVII, P- 174 Ce doulx venin qui de tes yeulx distille CCCCLXXXVIII, P- 179 Ce doux grief mal tant longuement souffert LXXXVII, P- 45 Ce froit tremblant, ses glacées frisons CLV, P- 75 Ce hault désir de doulce pipperie CCIV, P- 97 Ceincte en ce point et le col, et le corps CLXXIII, P- 83 Celle beaulté, qui embellit le Monde VII, P- 9 Celle pour qui je metz sens, et estude CXLII, P- 69 Celle regit le frain de ma pensée CCXCIII, P- 136 Ce lyen d'or, raiz de toy mon Soleil XII, P- 11 Ce mien languir multiplie la peine CCXLVIII, P- 116 Ce n'est Plancus, qui la Ville estenclit CCCXCV, P- 182 Ce n'est point cy, Pellerins, que mes vœutz CCXLI, P- 113 Ces deux Soleilz nuisamment penetrantz CCLXIX, P- 269 C'est de pitié que lors tu me desgoustes CXCI, P- 91 Ces tiens non yeulx, mais estoilles celestes CCXLIII, P- 114
503TABLE DES INCIPIT 425 Cest Oeil du Monde universel spectacle CCCIII, p 141 Chantant Orphée au doulx son de sa lyre CCCXVI, p 147 Combien encor que la discretion CCLXXIX, p 130 Combien qu'à nous soit cause le Soleil CDXLIII, p 203 Comme celluy, qui jouant à la Mousche LVII, p 31 Comme corps mort vagant en haulte Mer CLXIV, p 79 Comme des raiz du Soleil gracieux CXLI, p 69 Comme gelée au monter du Soleil CCXC, p 135 Comme Hecaté tu me feras errer XXII, p 16 Comme Ion voit sur les froides pensées LXVIII, p 36 Continuant toy, le bien de mon mal LXV, p 35 Contour des yeulx, et pourfile du né CCXXXIII, p 110 Courantz les jours à declination CCCXXXIII, p 154 Cupido voit son traict d'or rebouché CCCLXXIV, p 172 Cuydant ma Dame un rayon de miel prendre CCXXXVII, p 111
D
Dans son jardin Venus se reposoit LXXIV, p- 39 D'autant qu'en moy sa valeur plus augmente CXC, p- 91 De ce bien faitct te doibs je aumoins louer CLXIII, p- 79 De ces haultz Montz jettant sur toy ma veue CXXII, p- 60 De corps tresbelle et d'ame bellissime CDXXIV, p- 195 Decrepité en vielles esperances LXX, p- 37 De fermeté plus dure, que Dyaspre CCLXXXV, p- 133 De la clere unde yssant hors Cytharée CCLV, p- 119 De la mort mde à bon droit me plaindrois CXXXVII, p- 67 De l'arc d'Amour tu tires, prens, et chasses ex. p- 55 Delia ceincte, hault sa cotte attournée CXXXI, p- 64 Deliberer à la nécessité ccxx. p- 104 Delie aux champs troussée, et accoustrée CCCXXVII, p- 151 D'elle puis dire, et ce sans rien mentir CDX, p- 188 De rOccean l'Adultaire obstiné XI, p- 11 De mon cler jour je sens l'Aulbe approcher CCLXVI, p- 124 Dens son poly ce tien Cristal opaque CCXXIX, p- 108 Désir, souhait, esperance, et plaisir cxcv. p- 43 Des Montz haultains descendent les ruisseaulx LXIV, p- 35 Dessus ce Mont qui la Gaule descouvre CCCLXXXV, p- 177 Dessus le Cœur vouloit seul maistriser XXIX, p- 19 Des yeulx, ausquelz s'enniche le Soleil XXX, p- 19 De ton sainct œil. Fusil sourd de ma flamme CCXCII, p- 136
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MAURICE SCÈVE
De toute Mer tout long, et large espace ceux, p. 121 De tous travaulx on attend quelque fin CCXVIII, p. 103 De toy la doulce, et fresche souvenance CCCLXXV, p. 173 Diane on voit ses deux cornes jecter CLXXVI, p. 84 Donc admirant le grave de l'honneur CXLVI, p. 71 Doncques après mille travaulx, et .mille CXLI, p. 202 Doncques le Vice a Vertu préféré CCX, p. 99 Doulce ennemye, en qui ma dolente ame CXCXVII, p. 94 D'un magnanime, et haultain cœur procédé CCCXXV, p. 151 D'un tel conflict en fin ne m'est resté CLXXXIX, p. 90 E Elle à le cœur en si hault lieu assis CCCLXXXIX, p. 179 Elle me tient par ses cheveulx lyé XIV, p. 12 En aultre part, que là, où ilz aspirent CCCXXXIV, p. 155 En ce Faulxbourg celle ardente fornaise CCCLX, p. 166 En ce sainct lieu. Peuple devotieux CCXLII, p. 114 Encores vit ce peu de l'esperance CLXXIV, p. 83 En devisant un soir me dit ma Dame CXIII, p. 56 En divers temps, plusieurs jours, maintes heures CCXVI, p. 102 En moy saisons, et aages finissantz CDVII, p. 187 En permettant que mon si long pener CCXLIX, p. 117 Ensevely long temps soubz la froideur CXXV, p. 62 En son habit tant humainement coincte CCLXXXI, p. 131 En tel suspend ou de non, ou d'ouy CLXXXIV, p. 88 En toy je vis, où que tu sois absente CXLIV, p. 70 Entre ses bras, ô heureux, près du cœur CCCXLV, p. 159 Estant ainsi vefve de sa presence CCCLXIII, p. 167 Estant tousjours, sans m'oster, appuyé CCCLXX, p. 171 Estes vous donc, ô mortelz esbays CLX, p. 77 Est il possible, ô vaine Ambition CCXCVdlI, p. 139 Estre me deust si grand' longueur de temps CDXXXVII, p. 200 Estre ne peult le bien de mon malheur CLVI, p. 75 Et Helicon, ensemble et Pamasus CXLIX, p. 72 Et l'influence, et l'aspect de tes yeulx CDXVI, p. 191
F
Fait paresseux en ma longue esperance Finablement prodigue d'esperance
CXCII, p. CDXXVI, p.
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Flamme si saincte en son cler durera Fleuve rongeant pour t'attiltrer le nom Force me fut (si force se doibt dire) Fortune en fin te peult domestiquer Fortune forte à mes vœutz tant contraire Fusse le moins de ma calamité Fuyantz les Montz, tant soit peu, nostre veue CDXLIX, CDXVII, CDXXVII, CCLXXXVII, CVII, XCIX, LXXIII, p- p- p- p- p- p- p- 206 191 196 134 54 50 39 G Gant envieux, et non sans cause avare Glorieux nom, glorieux entreprinse Grace, et Vertu en mon cœur enflammeront CXCVIII, LIV, CCCXIII, p- p- p- 94 30 145 H Haultain vouloir en si basse pensée Hault est l'effect de la voulenté libre Heureux joyau, tu as aultresfoys ceinct Heur me seroit tout aultre grand malheur Honneste ardeur en un tressainct désir CDVI, CDXIX, CCCXLVII, CDV, CDXIII, p- p- p- p- p- 187 192 160 186 190 I Incessamment mon grief martyre tire Incessamment travaillant en moy celle Insatiable est l'appétit de l'homme CCXXXI, CDXXXVI, CXVI, p- p- p- 109 200 58 J Ja deux Croissantz la Lune m'a monstré Ja soit ce encore, que l'importunité Ja tout haultain en moy je me paonnois J'attens ma paix du repos de la nuict Je le conçoy en mon entendement Je le vouluz, et ne l'osay vouloir Je m'asseurois, non tant de liberté XXXV, CDXXIX, CCCXVIII, CVI, ccxxxv, LXXVI, CCVII, p- p- p- p- p- p- p- 22 197 147 53 107 40 98
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e m'ayme tout au desdaing de la hayne CCCXV, p- 146 e me complains en si doulce bataille LXXVIII, p- 41 e m'en absente et tant, et tant de foys CCXV, p- 102 e m'en esloingne, et souvent m'en absente CDXXXIII, p- 199 e m'esjouys quand ta face se monstre CLXXXVI, p- 89 e me taisois si pitoyablement VIII, p- 10 e ne l'ay veue encor, ne toy congneue XXXIV, p- 21 e ne me puis aysèment contenter CCCL, p- 162 e preferoys à tous Dieux ma Maistresse XVI, p- 13 e sens en moy la vilté de la crainte CCCLXXXI, p- 175 e sens le noud de plus en plus estraindre CLII, p- 74 e sens par fresche, et dure souvenance CCCXX, p- 148 e souspiroys mon bien tant esperé CCCXXVI, p- 151 'espere, et crains, que l'esperance excede CCLXXI, p- 127 e voy en moy estre ce mont Forviere XXVI, p- 18 e voys cherchant les lieux plus solitaires CCLXII, p- 123 e voys, et viens aux ventz de la tempeste CCCXCIII, p- 181 e vy aux raiz des yeulx de ma Deesse cv, p- 53
L
La blanche Aurore à peine finyssoit CCCLXXVIII, P- 174 La crainte adjoinct aeles aux piedz tardifz CCCVIII, P- 143 L'affection d'un trop haultain désir CIV, P- 52 L'Aigle des Cieulx pour proye descendit CXX, P- 59 L'Aigle volant plus loing, qu'oncques ne fit LV, P- 31 L'air tout esmeu de ma tant longue peine CLVIII, P- 76 La Lune au plein par sa clarté puissante CCCLXV, P- 168 La Mort est pasle, et Cupido transi CLIV, P- 75 La Mort pourra m'oster et temps, et heure CCLXIV, P- 123 La passion de soubdaine allegresse CCCLXI, P- 167 L'Architecteur de la Machine ronde LUI, P- 30 L'ardent désir du hault bien désiré LXXIII, P- 43 La roue en fin le fer assubtilie CDU, P- 185 L'Aulbe estaingnoit Estoilles à foison LXXIX, P- 41 L'Aulbe venant pour nous rendre apparent CCCLV, P- l64 Le bon Nocher se monstre en la tempeste CXXXII, P- 65 Le Cerf volant aux aboys de l'Austruche XXI, P- 15 Le Ciel de soy communément avare CCLII, P- 118 Le Cœur, de soy foiblement resoulu CCLVIII, P- 121 Le Cœur surpris du froit de ta durté CLXXXV, P- 88
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Le Corps travaille à forces enervées LVI p- 31 Le Dieu Imberbe au giron de Thetys XCVIII p- 50 Le doulx sommeil de ses tacites eaux CXLVII p- 71 Le fer se laisse, et fourbir, et brunir LU p- 29 Le Forgeron villainement erra XXXVI p- 22 Le hault penser de mes frailes désirs CXVIII p- 59 Le jeune Archier veult chatouiller Delie CCL p- 117 Le jour passé de ta doulce presence CXXIX p- 63 Le laboureur de sueur tout remply CCCXCVI p- 182 Le Naturant par ses haultes Idées II p- 7 Le Painctre peult de la neige depaindre CCXCI p- 135 Le practiquer de tant diverses gentz CCXIV p- 101 Les elementz entre eulx sont ennemys CCCXCII p- 180 Le Souvenir, ame de ma pensée CXLIII p- 70 L'esprit qui fait tous tes membres movoir CXXVII p- 63 L'Esprit vouloit, mais la bouche ne peult CCCLXIV p- 168 Les rhetz dorez, dont Amour me détient CCCXXIV p- 150 L'Esté bouilloit, et ma Dame avoit chault LXIII p- 34 Les tristes Sœurs plaingnoient l'antique offense XXXI p- 20 Leuth resonnant, et le doulx son des cordes CCCXLIV p- 159 Le veoir, l'ouyr, le parler, le toucher XLI p- 24 Le Vespre obscur à tous le jour clouit CXXXIII p- 65 L'heur de nostre heur enflambant le désir CXXXVI p- 67 L'heureux séjour, que derrière je laisse CCCLXXXII p- 176 L'humidité, Hydraule de mes yeux CCCXXXI p- 153 Libre je vois, et retourne libéré ccxxv p- 106 Libre vivois en l'Avril de mon aage VI p- 9 L'œil, aultresfoys ma joyeuse lumière XIII, p. 12 L'œil trop ardent en mes jeunes erreurs I p- 7 Longue silence, où je m'avainissoys CXII p- 56 Lors le suspect, agent de jalousie CCVI p- 98 Lorsque le Linx de tes yeulx me pénétré CCCXXI p- 149 Lors que le Soir Venus au Ciel r'appelle CXI p- 55 Lors que Phebus de Thetys se depart CCCLXVIII p- 170 L'oysiveté des délicates plumes c p- 51
M
Ma Dame ayant l'arc d'Amour en son poing Ma Dame et moi jouantz emmy un pré Ma face, angoisse à quiconques la voit
V, CLXX, XLV,
P- P- P-
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Mais que me sert sa vertu, et sa grace CCCXCIX, P- 00 Mais si Raison par vraye congnoissance CLXXXII, P- 87 Mansuétude en humble gravité CCLXXXIV, P- 132 Mars amoureux voulut baiser ma Dame CIX, P- 55 Maulvais usage, et vaine opinion CCCXXIII, P- 150 Ma voulenté reduicte au doulz servage CCXL, P- 113 Me desaymant par la sévérité CCCLXXXIV, P- 177 Me ravissant ta divine harmonie CLVII, p. , P- 76 Merveille n'est, Deesse de ma vie CCCXXII, P- 149 Mes pleurs clouantz au front ses tristes yeulx CLXV, P- 79 Mes tant longz jours, et languissantes nuictz CCXLV, P- 115 M'eust elle diet, au moins pour sa deffaicte XLVII, P- 27 Moins je la voy, certes plus je la hays XLIII, P- 25 Moins ne pourroit et la foy et l'hommage XIX, P- 15 Mon ame en Terre (un temps fut) esprouva CCCV, P- 142 Mon mal se paist de mon propre dommage CCCXVII, P- 147 Mont costoyant le Fleuve, et la Cité CDXII, P- 189 Morte esperance au giron de pitié CLIII, P- 74
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Nature au Ciel, non Peripatetique CDXLIV, P- 203 Nature en tous se rendit imparfaicte CCXLVII, P- 116 Ne cuydez point entre vous, qui suyvistes CCCXXXVI, P- 155 Ne du passé la recente memoyre CCCLXII, P- 167 Ne t'esbahis. Dame, si celle fouldre LXXXI, P- 42 Nier ne puis, au moins facilement CCCLXVI, P- 169 Non celle ardeur du Procyon celeste LXII, P- 34 Non de Venus les ardentz estincelles Non cy me tient ma dure destinée LXXXVIII, P- 45 Non (comme on, dit) par feu fatal fut arse CCCXCI, P- 180 Non de Paphos, delices de Cypris, IX, P- 10 Non de Venus les ardentz estincelles A sa Delie, P- 5 Non moins ardoir je me sens en l'absence CCCLII, P- 163 Non sur toy seule Envie a faict ce songe LXXXV, P- 44 Non tant me nuict ceste si longue absence CXXXVIII, P- 67 Nous esbatantz ma Dame, et moy sur l'eau CCLXXXVI, P- 133 Novelle amour, novelle affection CCXXIV, P- 106
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O
0 ans, ô moys, sepmaines, jours, et heures CXIV, p. 57 Œil Aquilin, qui tant osas souffrir XCIII, p. 178 On me disoit, que pour la converser ceci, p. 140 Opinion, p>ossible, mal fondée CCLXI, p. 122 Ores cornue, ores plainement ronde CCXCV, p. 137 Or si le sens, voye de la raison CDXXXV, p. 199 Oserois tu, ô Ame de ma vie CLXII, p. 78 Osté du col de la doulce plaisance XCI, p. 47 Où celle estoit au festin, pour laquelle CCCLXXXVII, p. 47 Ou le contraire est certes vérité LXXXIV, p. 43 Ou sa bonté par vertu attractive CL, p. 73 Ouvrant ma Dame au labeur trop ardente CCCXXXII, p. 154 Ouy, et non aux Caestes contendantz CLXXXI, p. 87
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Par ce hault bien, qui des Cieulx plut sur toy XC, p. 46 Par ce penser tempestant ma pensée CCCXLVIII, p. 161 Pardonnez moy, si ce nom luy donnay CCCXCIV, p. 181 Par le penser qui forme les raisons LXIX, p. 37 Par long prier Ion mitigue les Dieux CCXXXIX, p. 112 Par maint orage ay secouru fortune XXXIX, p. 23 Par mes souspirs Amour m'exale l'Ame CCC, p. 139 Parmy ces champs Automne pluvieux CLXXI, p. 85 Par ta figure, haultz honneurs de Nature CLXXVII, p. 82 Par tes vertuz excellentement rares CCLIII, p. 119 Par ton regard severement piteux CXV, p. 57 Persévérant en l'obstination L, p. 28 Petit object esmeult grande puissance CXIX, p. 59 Peu s'en falloit, encores peu s'en fault CDXX, p. 193 Peuvent les Dieux ouyr Amantz jurer XX, p. 15 Phebé luysant par ce Globe terrestre CC, p. 95 Phebus doroit les cornes du Thoreau CCXXIII, p. 105 Plaindre provient partie du vouloir CLXXXVII, p. 89 Plaisant repos du séjour solitaire CDXIV, p. 190 Plongé au Stix de la mélancolie CCCLXIX, p. 170 Plus croit la Lune, et ses cornes renforce CCCLXXXIII, p. 176 Plus je la voy, plus j'adore sa face CCCVII, p. 143 Plus je poursuis par le discours des yeulx CCLXXXVIII, p. 134
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DELIE
Plus librement, certes, j'accuserois Plus pour esbat, que non pour me douloir Plus tost seront Rhosne, et Saône desjoinctz Plus tost vaincu, plus tost victorieux Pour esmovoir le pur de la pensée Pour estre l'air tout offusqué de nues Pour la fraischeur Delie se dormoit Pour me despendre en si heureux service Pour m'efforcer à degluer les yeulx Pour m'enlasser en mortelles deffaictes Pour m'incliner souvent à celle image Pour non ainsi te descouvrir soubdain Pourquoy fuys ainsi vainement celle Pourquoy reçoy je en moy mille argumentz Pour résister à contrariété Pourroit donc bien (non que je le demande) Povre de joye, et riche de douleur Près que sorty de toute obéissance Produicte fust au plus cler ascendant
Q Quand Apollo après l'Aulbe vermeille Quand de ton rond le pur cler se macule Quand ignorance avec malice ensemble Quand j'aperceu au serain de ses yeux Qaund je te vy, miroir de ma pensée Quand je te vy orner ton chef doré Quand l'allegresse aux entrailles créée Quand l'ennemy poursuyt son adversaire Quand l'œil aux champs est desclairs esblouy Quand Mort aura, après long endurer Quand (ô bien peu) je voy auprès de moy Quand pied à pied la Raison je costoye Quand quelquesfoys d'elle à elle me plaings Quand Titan a sué le long du jour Quasi moins vraye alors je l'aperçoy Que je me fasche en si vain exercice Que je m'ennuye en la certaineté Que ne suis donc en mes Limbes sans dueil Qui ce lien pourra jamais dissouldre
LXI, P- 33 CCCIX, P- 143 XVII, P- 14 CCXXII, P- 105 CCCLXXX, P- 175 CLXXVIII, P- 85 cccxxxv. P- 155 LXXV, P- 39 CCXXVII, P- 107 CXVII, P- 58 CCLXXV, P- 128 CCXCIX, P- 139 CCLXIII, P- 123 CLXXXIII, P- 87 CCIX, P- 99 CXLII, P- 203 CCLVI, P- 120 CCLXXXIX, P- 135 CCCXIX, P- 148
CCCLXXXVI, P- 178 CXCIII, P- 98 CCXI, P- 100 LVIII, P- 32 CDXV, P- 191 CCXXX, P- 108 CD, P- 184 CCCLIX, P- l66 XXIV, P- 17 CDVIII, P- 187 CCCLIV, P- 163 CLXXX, P- 86 CCCXLII, P- 158 CCCLV, P- 164 CCCXLI, P- 158 CDXXXVIII, P- 201 CCCXII, P- 145 CCLXXX, P- 131 CXXXV, P- 66
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Quiconque a veu la superbe Machine Quiconques fut ce Dieu, qui m'enseigna Qui cuyderoit du mylieu de tant d'Anges Qui se delecte à bien narrer histoires Qui veult scavoir par commune evidence Quoy qu'à malheur je vueille attribuer Quoy que ce soit, amour, ou jalousie
LXXII, P- 38 XL, P- 24 CCCLI, p. 162 XVIII, P- 14 CCLXXVIII, P- 130 CDXXX, P- 430 CDXXVIII, P- 196
R Respect de toy me rendant tout indigne CDXXXI, p. 198 Respect du lieu, soulacieux esbat CDXXIII, p. 194 Resplendissantz les doulx raiz de ta grace CDXL, p. 202 Rien, ou bien peu, fauldroit pour me dissouldre CDXLVI, p. 204
S
Saincte Union povoit seule accomplir CXXXIV, P- 66 Sans aultre bien, qui fut au mal commode CDXXXII, P- 198 Sans lesion le Serpent Royal vit CXCIX, P- 95 Sa vertu veult estre aymée, et servie CCCLIII, P- 163 Seroit ce point fiebvre, qui me tourmente CVIII, P- 54 Seul avec moy, elle avec sa partie CLXI, P- 78 Seule raison, de la Nature loy XXIII, P- l6 Si Apollo restrainct ses raiz dorez CXXIV, P- 61 Si c'est Amour, pourquoy m'occit il doncques LX, P- 33 Si de mes pleurs ne m'arousoys ainsi CCXLVI, P- 115 Si de sa main ma fatale ennemye eux. P- 77 Si doulcement le venin de tes yeulx XLII, P- 25 Si droit n'estoit, qu'il ne fust scrupuleux ccxni. P- 101 Si en ton lieu j'estoys, ô doulce Mort LXXI, P- 38 Si grand'beaulté mais bien si grand merveille LI, P- 29 Si je vois seul sans sonner mot, ne dire CCXLIV, P- 115 Si le blanc pur est Foy immaculée CCLIV, P- 119 Si le désir, image de la chose XLVI, P- 27 Si le soir pert toutes plaisantes fleurs XLIV, P- 26 Si ne te puis pour estrones donner CCV, P- 97 Si one la Mort fut tresdoulcement chere XLVIII, P- 27 Si poingnant est l'esperon de tes graces CCLXXIV, P- 128 Si tant soit peu, dessus ton sainct Pouitraict CCXCVII, P- 138
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Si treslas fut d'environner le Monde XCIV, p- 48 Si tu t'enquiers pourquoy sur mon tombeau CDXLVII, p- 447 Soit que l'erreur me rende autant suspect XXXII, p- 20 Soubz doulx penser je me voy congeler CCI, p- 95 Soubz le carré d'un noir tailloir couvrant CDXVIII, p- 192 Souvent Amour suscite doulce noise CCCXIV, p- 146 Suave odeur : Mais le goust trop amer X, p- 11 Suffise toy, ô Dame, de dorer CXCIV, p- 92 Sur fraile boys d'oultrecuydé plaisir CCLX, p- 122 Sur le matin, commencement du jour LXXXVI, p- 51 Sur le matin, songeant profondement CI, p- 44 Sur le Printemps, que les Aloses montent CCXXI, p- 104 Sur nostre chef gettant Phebus ses rayz XCII, p- 47 Suyvant celluy, qui pour l'honneur se jecte cm. p- 52 T Ta beaulté fut premier, et doulx Tyrant CCCVI, p- 142 Ta cruaulté. Dame, tant seulement CCXXXVIII, p- 112 Taire, ou parler soit permis à chascun LIX, p- 32 Tant de sa forme elle est moins curieuse CCLXXXXIII, p- 132 Tant est Nature en volenté puissante XXXIII, p- 21 Tant je l'aymay, qu'en elle encor je vis XLIX, p. , p- 28 Tant me fut lors cruellement piteuse cxxx. p- 64 Tant occupez aiix conditions d'elle CDI, p- 184 Tant plus je veulx d'elle me souvenir CDIV, p- 186 Tant variable est l'effect inconstant CCCXXVIII, p- 152 T'esbahys tu, ô Enfant furieux CCII, p- 96 Tes beaux yeulx clers fouldroyamment luisantz CCXII, p- 100 Tes cheveulx d'or annellez, et errantz CCXCVI, p- 138 Tes doigtz tirantz non le doulx son des cordes CXCVI, p- 93 Te voyant rire avecques si grand grace XCVI, p- 49 Ton doulx venin, grace tienne, me fit m. p- 7 Ton hault sommet, ô Mont à Venus saincte xcv. p- 48 Touché au vif et de ma conscience CDXXII, p- 194 Tousjours mourant, tousjours me trouve sain CCLXXII, p- 127 Tousjours n'est pas la mer Egée trouble CCCLVII, p- 165 Tous temps je tombe entre espoir, et désir CCLXV, p- 124 Tout désir est dessus espoir fondé CCXXXIV, p- 110 Toute doulceur d'Amour est destrempée CCLXXIII, p- 127 Toute fumée en forme d'une nue CCCXCVII, p- 183
513DELIE 435 Tout en esprit ravy sur la beauité CCXXVIII, p. 107 Toutes les fois que je voy eslever CCCXC, p. 179 Toutes les fois qu'en mon entendement CLXVIII, p. 81 Toutes les foys, que sa lueur sur Terre CCCLVIII, p. 165 Tour jugement de celle infinité CLXVI, p. 80 Tout le jour meurs voyant celle présente CDIII, p. 185 Tout le repos, ô nuict, que tu me doibs CCXXXII, p. 109 Toy seule as faict que ce vil Siecle avare XV, p. 13 Tresobservant d'eternelle amytié LXVII, p. 35 Tu as, Anneau, tenu la main captive CCCXLIX, p. 161 Tu celle fus, qui m'obligeas premiere CXXI, p. 60 Tu cours superbe, ô Rhosne, flourissant CCVTII, p. 99 Tu es le Corps, Dame, et je suis ton umbre CCCLXVI, p. 173 Tu es. Miroir, au cloud tousjours pendant CCLVII, p. 120 Tu fais, cruel, ses pensées meurdrieres XXV, p. 17 Tu mes le Cedre encontre le venin CCCLXXII, p. 171 Tu te verras ton yvoire cresper CCCX, p. 144 V Vaincre elle sçait hommes par sa valeur CXXIII, p. 61 Veu que Fortune aux accidentz commande CCCXXXVII, p. 156 Vicissitude en Nature prudente CCIII, p. 96 Violenté de ma longue misere CCCXCVIII, p. 183 Vivacité en sa jeunesse absconse CLXVII, p. 80 Voulant je veulx, que mon si hault vouloir CDXXI, p. 193 Voulant tirer le hault Ciel Empirée IV, p. 8 Vouldroys je bien par mon dire attraper CCCXXXIX, p. 152 Vouloir tousjours, où le povoir est moindre CDXLVIII, p. 205 Vous, Gantz heureux, fortunée prison CLXIX, p. 81 Voyant soubdain rougir la blanche neige XXVII, p. 18 Voy ce papier de tous costez noircy CLXXXVIII, p. 90 Voyez combien l'espoir pour trop promettre CCLXXVI, p. 129 Voy le jour cler ruyner en tenebres CLXXV, p. 84 Voy que l'Hyver tremblant en son séjour CXLVIII, p. 72 Vulcan jaloux reprochoit à sa femme LXXXIII, p. 43
- Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
- ISBN : 978-2-8124-2914-9
- EAN : 9782812429149
- ISSN : 2417-6400
- DOI : 10.48611/isbn.978-2-8124-2914-9.p.0501
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 08/04/2014
- Langue : Français